Cauvaldor : Réunion de bilan pour Résurgence V, Infinie Liberté, acte 2
L’exposition ferme les portes de sa 5ème édition, la fin d’une saison de deux ans dédiée à Nancy Cunard.
Jeudi 9 décembre 2021 avait lieu la réunion de bilan de Résurgence V, édition Infinie Liberté, acte 2 (la commissaire de l’exposition était Valentine Boé, directrice des affaires culturelles de Cauvaldor). De nombreux partenaires, élus et agents de Cauvaldor et de Souillac, journalistes et bénévoles étaient présents.
Cette année, malgré la crise sanitaire, 5557 personnes au total ont visité l’exposition et participé aux 30 actions culturelles proposées sur l’ensemble du territoire, de Lachapelle-Auzac à Cornac. L’exposition a été très appréciée des scolaires, de la maternelle au lycée, avec 1138 élèves accueillis par Angeline Marcet, médiatrice culturelle en charge de l’éducation artistique.
La réunion de bilan s’est tenue à la mairie de Souillac, commune partenaire et impliquée depuis la première édition. Plusieurs bonnes nouvelles ont été annoncées : la confirmation du maintien de l’annualité de l’évènement par le président de Cauvaldor, Raphaël Daubet, et la création du poste de chargée de mission Résurgence.
La médiation culturelle est un volet majeur pour Résurgence : Angeline Marcet a ainsi été félicitée pour la qualité de son travail avec les scolaires et le grand public. La vingtaine de bénévoles ayant soutenu l’équipe dans l’accueil du public a également été chaleureusement remercié, sa mobilisation étant essentielle pour assurer l’ouverture de l’exposition.
Les futures thématiques de Résurgence ont été annoncées : en 2022, Profonde Intuition valorisera le fonds La Forge – Marianne Vialat, conservé à la bibliothèque de Souillac. L’exposition mettra en relation les profondeurs de la terre et celles des sentiments et des émotions. En 2023, Louis Vicat sera à l’honneur. Construction Vivante traitera d’architecture et d’environnement. En 2024, Résurgence VIII sera dédiée à Gisèle Freund. Chaque édition se construit plusieurs années en amont et demande deux à trois années de recherches artistiques et historiques.
Photo Alexis Mestre