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L’immobilier résiste, le sens de l’humour aussi


Où il est question du #Lot et des #Lotois sur les réseaux sociaux.

– Ce sont nos confrères spécialisés du Figaro Immo Pro qui l’affirment : « Cahors, Vannes, Rambouillet : les villes de taille moyenne ont le vent en poupe ! Les ventes y ont été soutenues en 2019 avec une hausse annuelle de moins de 2%. » Et en fin de tweet de renvoyer à un baromètre. Il y est précisé : « Depuis la crise sanitaire, on n’a jamais autant parlé de l’attrait qu’offrent ces destinations mêlant services, verdure et prix immobiliers accessibles. Problème : si la quasi-totalité des études ciblent les villes de plus de 100.000 habitants et qu’il existe des indicateurs sur l’immobilier rural, ces villes moyennes sont les grandes oubliées des statistiques. » Et donc, Le Figaro y explique que « les notaires du Conseil supérieur du notariat et la direction du programme national Action cœur de villes ont choisi de s’associer pour produire des données chiffrées sur les 222 communes concernées. Dans ce premier Baromètre de l’immobilier des villes moyennes (il s’en tient à 2019, donc on n’y mesure pas l’effet Covid), on découvre un marché dynamique où les ventes ont progressé de 11.880 unités entre 2018 et 2019, passant de 114.665 à 126.545. » Et Cahors, alors ? On apprend, et c’est aussi le cas à Figeac, que le prix médian au m2 des appartement anciens y est de 1000 à 1300 euros. Bon, pour d’autres stats post Covid, on attendra. Toujours est-il que de se voir accolé dans un titre à des villes comme Vannes et Rambouillet, c’est déjà pas mal.

– Nos amis anglais nous étonneront toujours pour leur légendaire sens de la formule. Et de l’humour. Nous avons ainsi repéré le récit d’un Londres-Cahors en train, aller-retour, qu’un couple de blogueurs « so british » a été obligé d’accomplir (pour un impératif familial) en dépit des contraintes sanitaires. On vous la fait courte : malgré l’aspect suranné, voire « old school » des voitures, ils ont jugé l’intercités très confortable et les paysages bucoliques à souhait. Sans oublier les en-cas vendus à bord de bonne facture. Merci pour dame SNCF si souvent critiquée…

– Invité par le compte Twitter spécialisé Philatelovely à partager (sur le réseau) ses timbres français préférés, Steve Marshall a publié cette semaine trois timbres dédiés à des ponts. Son tiercé gagnant :
l’« impressionnant » (sic) viaduc de Millau (2005), le pont (Valentré) de Cahors (1970) et le pont de Normandie (1995). Les dates sont celles de l’émission, évidemment…

– Bien que très occupé par les manifestations de l’année Gambetta, l’historien médiéviste et président de la Société des études lotoises Patrice Foissac n’en conserve pas moins son sens de l’humour. Il a posté sur son compte Twitter cette semaine une photo de la plaque de l’Impasse de l’Université avec cette légende un brin désabusée : « Ça n’arrive qu’à Cahors… » Aucune allusion osons-nous croire à l’état de santé de l’enseignement supérieur dans notre beau et grand pays. Ou à sa thèse de doctorat qui portait sur « Les collèges séculiers des universités de Cahors et de Toulouse aux XIVe et XVe siècles ». Quoi qu’il en soit, ses collègues aquitains amateurs de Bordeaux attendent déjà avec impatience son ouvrage à paraître, « Vins de Cahors et du Quercy. Un recueil sur l’histoire des hommes, des lieux et des produits », co-écrit avec Pascal Griset et Léonard Laborie, autres historiens au CV long comme le bras. Une saine lecture après les vendanges qui commencent…

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– A l’heure du monde d’après et d’une nécessaire nouvelle étape dans la décentralisation, certains rêvent de voir les ministères quitter Paris. Un certain Mr Brightside suggère ainsi que celui de l’Agriculture ait son siège à Cahors, celui de la Culture en Avignon et celui de l’Education dans la Creuse. Avec cet argument : « Seuls les ministres sont amenés à beaucoup se déplacer. Les administratifs n’ont pas besoin de TGV. » Air connu : en France, on n’a pas de pétrole mais on a des idées. Et de l’humour, encore et toujours.

– On conclut en musique. La violoniste Sophie Lemonnier-Wallez se plaint sur Twitter, vidéo à l’appui. « Mon violon n’aime pas l’été. Variations hygrométriques = décollement. » En clair, les sonorités et résonances sont altérées et erratiques car le bois a « bougé ». Une mélomane lotoise, Louise Dautel, lui répond ceci : « J’en profite pour vous dire à quel point votre Schubert à Figeac m’a bouleversée. C’était magnifique. Merci et bon rétablissement à votre violon. » L’artiste s’était en effet produite lors des Rencontres musicales de Figeac en août. Un des rares festivals à avoir été maintenus.

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