Figeac – Municipales 2020 : Vivre Figeac met les points sur les i
La liste appelle aussi à la mobilisation.
Vivre Figeac, la liste menée par Patricia Gontier, communique : « « Où sont Figeac et les Figeacois dans tout ça ? » C’est vrai, nous avons accepté de rencontrer Philippe Landrein car la possibilité de pouvoir changer le mode de gouvernance et installer à Figeac l’équipe nouvelle dont notre ville a besoin nous paraissait mériter un tel dialogue. Nous lui avons parlé de projet. Il nous a répondu places sur sa liste. Nous avons parlé de valeurs il nous a répondu marketing et couleur de communication. Nous ne sommes pas des marchands de tapis. Les Figeacois méritent mieux que cela. En 2014, André Mellinger, pour que nous renoncions à une liste Vivre Figeac, nous avait proposé 4 places de conseillers municipaux, en 2020 Philippe Landrein nous a fait la même proposition et il nous parle de «querelles humaines dignes d’un autre temps» ! A Vivre Figeac nous ne voulons pas d’un fonctionnement qui ressemble à s’y méprendre à celui de l’équipe en place. Nous n’avons pas de leçons de conduite à subir d’un candidat qui parle d’instaurer un monde nouveau, à l’image de LREM dont il a été le référent dans le département. Cette ouverture qu’il affiche et dont il s’empresse de communiquer le résultat dans la presse n’est que de façade. Il n’a laissé place à aucune discussion. Il a refusé tout débat à trois et déformé nos propos. Il veut être vizir à la place du vizir et décider seul, c’est tout. Ce n’est pas la conception de la démocratie que nous défendons à Vivre Figeac. Qu’en conclure ? André Mellinger /Philippe Landrein c’est blanc bonnet et bonnet blanc, même si l’un a un petit parfum de renouveau alors que l’autre est là depuis des décennies. L’un ne fait rien pour anticiper les mesures nécessaires pour atténuer les conséquences de la crise et le revendique, l’autre veut créer une réserve citoyenne de bénévoles pour remplacer le travail salarié alors que tant de Figeacois sont inquiets pour leur emploi. On marche sur la tête. Pas étonnant que l’on entende ici et là des citoyens qui, écoeurés, ont décidé, comme au premier tour, de ne pas aller voter. Surtout pas ! L’immobilisme dans notre ville n’est pas une fatalité. Il est encore possible d’inverser le cours des choses et de choisir ce que Figeac doit être demain. Les résultats du second tour de scrutin peuvent être différents de ceux du 15 mars. Nous devons nous mobiliser et aller voter le 28 juin. Notre avenir commun en dépend. »
Photo @DR