Elections départementales 2021 : Rémi Branco et Véronique Chassain sur tous les fronts sur le canton de Puy-l’Evêque
Les candidats du « Lot en commun » sont mobilisés juste avant le 1er tour.
Gastronomie, santé, viticulture… Rémi Branco et Véronique Chassain, candidats du « Lot en commun », sur le canton de Puy-l’Evêque, sont sur le pont :
> Le Lot et ses produits de grande qualité n’en finissent pas de séduire. Guillaume Gomez, Meilleur Ouvrier de France, ex chef du Palais de l’Elysée et désormais Ambassadeur de la gastronomie française est tombé amoureux du Lot et de ses produits depuis que Rémi Branco l’a invité à y passer ses vacances à l’été 2019. De passage express dans la capitale pour des raisons professionnelles, Rémi Branco, candidat aux élections départementales sur le canton de Puy-l’Evêque n’a pas raté l’occasion pour ramener au Meilleur ouvrier de France quelques spécialités locales : Vins de Cahors, fromages de chèvre de Lherm et Cassagnes, Foie gras de la ferme du Mayne, agneau du Quercy élevé à Sérignac, Safran de Duravel et huile de Noix des Portes du Quercy, rien de moins ! « Il est pour moi essentiel de valoriser toujours davantage les produits du Lot. Les agriculteurs Lotois font un travail formidable, à nous de les aider à faire connaître leur savoir-faire. Guillaume Gomez est un ami, et c’est un formidable ambassadeur des produits français. C’est une chance pour nous Lotois de pouvoir compter sur Guillaume pour mieux faire connaître nos produits en France et à l’international » a indiqué le candidat.
> Véronique Chassain et Rémi Branco tiendront ce 14 juin, à 20 h 30, au Théâtre de Verdure, à Puy-l’Evêque une réunion publique sur le thème « Déserts médicaux : quelles solutions ?» en présence du Pr Vincent Bounes, chef du Samu de Haute-Garonne, candidat avec Carole Delga.
> Vendredi 4 juin à la salle polyvalente de Lagardelle, Véronique Chassain et Rémi Branco, candidats aux élections départementales sur le canton de Puy-l’Evêque, avaient convié la profession agricole, et tout particulièrement viticole, à une table ronde en présence d’Eric Andrieu, député rapporteur pour la PAC au Parlement européen et Vincent Labarthe, vice-président de la Région Occitanie en charge de l’agriculture. Premier à intervenir, le député européen a dressé un bilan inquiétant des négociations en cours à Bruxelles pour la future PAC. Devant près de 40 professionnels ou élus, il a avec pédagogie dénoncé l’incohérence entre les discours pro-environnementaux affichés et le manque de soutien aux agriculteurs pour la transition agro-écologique. Cela s’explique selon lui par une vision politique dominée par un libéralisme excessif. La même qui explique selon lui une situation inéquitable à l’échelle internationale : « il est absolument incompréhensible et déloyal que les produits importés hors UE puissent échapper aux normes que nous appliquons à l’intérieur de l’UE ! »
Maurin Bérenger, président du syndicat de défense des vins de Cahors, est intervenu pour dresser un premier bilan du terrible épisode de gel de 2021 qui « correspond en réalité à un phénomène quasi continu depuis 5 ans », appelant à mettre en place des mécanismes assuranciels pérennes face à la recrudescence des sinistres. Eric Andrieu et Rémi Branco ont répondu favorablement en indiquant que des mécanismes alliant assurance privée et solidarité nationale existaient dans d’autres pays comme l’Espagne et même les Etats-Unis. Il a également pointé du doigt le rapport de force commercial bien trop favorable à la grande distribution au détriment des viticulteurs qui obtiennent des prix en deçà des charges et investissements annuels qu’ils doivent consentir. Rémi Branco, répondant à l’interpellation d’un viticulteur sur le bio, a abondé dans son sens : « On ne peut pas demander aux agriculteurs de changer leur modèle sans les soutenir massivement dans cette transition. Quand on entend que les aides au maintien en bio pourraient être supprimées et que les éco-régimes censés soutenir les pratiques vertueuses bénéficieraient indifféremment aux agriculteurs engagés en HVE et en bio, il y a un problème de cohérence et le risque d’opposer les agriculteurs entre eux, ce qu’il faut éviter à tout prix. » Vincent Labarthe a présenté les dispositifs de la Région pour indemniser les agriculteurs victimes du gel et a rappelé la place importante de l’agriculture régionale à l’échelle européenne en rappelant que l’Occitanie comptait 300 labels sous signe de qualité sur les 1300 qui existent dans toute l’UE. Au total, une réunion très riche en débats où agriculteurs et viticulteurs venus nombreux ont pu s’exprimer de façon directe et constructive. Vincent Labarthe et Eric Andrieu ont dit tout l’intérêt de pouvoir travailler dans le Lot avec Rémi Branco avec qui ils ont collaboré pendant les 5 années où il officiait au cabinet du Ministre de l’agriculture. En guise de conclusion, ils ont clamé, faisant référence à Véronique Chassain et Rémi Branco : « Ceux-là, on les connaît, ce sont des pros, des bosseurs, ils se battront pour vous. On les a déjà vus à l’œuvre, vous pouvez leur faire confiance ! »
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