Du jamais vu sur scène pour le Cahors Blues Festival
Outre la programmation, on devrait aussi en prendre plein les yeux pour cette édition.
Si ça continue comme ça, le président du Cahors Blues Festival, Robert Mauriès, va tomber la chemise…Programme d’enfer oblige. « Ça démarre fort aussi bien pour les concerts de pré ouverture que le blues dans la ville. Hier soir, c’était super. Maintenant, on passe sur le site du festival avec la Master Class et Léo Bud Welsh ce mercredi, puis Laurence Jones, un Anglais que j’ai découvert à Bruxelles lors de l’European Blues Challenge, on enchaîne avec Lil’Ed Williams & The Blues Imperials puis Ruthie Foster. Demain, c’est d’abord Shawn Holt avec le band de son père Magic Slim, et surtout Ana Popovic à qui on a confié le « tribute» à Johnny Winter. Elle ne sera pas seule, il y aura avec elle, Eric Gales, il y a chez lui du Clapton, du Hendrix. Vendredi 17 juillet, c’est la fête du blues : Hip Hop blues, blues amérindien, blues africain sur la petite scène et sur la grande scène du blues de la Nouvelle-Orléans avec l’accordéon de Dwayne Dopsie et les Zydeco Hellraisers, suivront en exclusivité les Campbell Brothers avec en « special guest » Shakura S’Aida, et enfin le Chicago Blues de King King avec en guest Jon Amor, le guitariste des Hoax. Samedi, Charles Pasi, harmoniciste virtuose, préparera l’arrivée de Louis Bertignac que l’on ne présente plus. »
Et d’annoncer des nouveautés au niveau de la scène concoctées par Dushow, les Showtime Riders et des bénévoles : « C’est la première fois que l’on va scénographier le blues. Il y a une mise en scène extraordinaire. La musique est magnifiée. » Autre bonne nouvelle il reste encore des places pour les concerts…mais ne tardez pas trop, elles devraient partir aussi vite qu’un riff de guitare.