Coronavirus : La préfecture du Lot et le palais de justice suspendent provisoirement l’accueil au public
Les sous-préfectures de Figeac et Gourdon sont également concernées.
> Dans le cadre du passage en stade 3 de l’épidémie sur le territoire national, et conformément aux diverses mesures destinées à freiner au maximum la propagation de l’épidémie dans les meilleures conditions pour tous, l’accueil (avec ou sans rendez-vous) de la préfecture du Lot, à Cahors et des sous-préfectures de Figeac et Gourdon est suspendu à partir de ce 16 mars, et jusqu’à nouvel ordre. Vous pouvez retrouver toutes les informations sur les démarches administratives sur le site www.lot.gouv.fr, rubrique « démarches administratives ». Pour les cas d’urgence, un accueil téléphonique est assuré au 05 65 23 10 00. Par ailleurs, il est recommandé à chacun d’éviter au maximum de se rassembler, de limiter les réunions amicales et familiales, de n’utiliser les transports en commun que pour se rendre au travail et seulement si la présence physique au travail est indispensable, de sortir de son domicile uniquement pour effectuer ses courses essentielles. Le préfet invite chacun à respecter les gestes barrières recommandés pour se protéger et protéger les autres.
> Pour rester informés, rendez-vous sur le site internet https://www.gouvernement.fr/info-coronavirus.
> Le président du tribunal judiciaire et le procureur de la République informent les ressortissants du Lot qu’à compter de ce jour, et pour une durée indéterminée, conformément aux directives nationales, l’accès à la juridiction est fermé au public. La plupart des audiences sont reportées à une date qui sera communiquée ultérieurement. Les personnes désireuses de se rendre au palais, pour les seuls motifs d’exercice d’un recours (appel, opposition) à l’encontre d’une décision, devront téléphoner au SAUJ au 05 65 23 46 50. L’activité du tribunal judiciaire, si elle est réduite, perdure pour les contentieux essentiels et ceux présentant un caractère d’urgence. Le procureur de la République rappelle par ailleurs qu’en vertu du principe de continuité du service public de la justice, une réponse sera toujours apportée à chaque infraction commise. Les audiences de comparution immédiate et l’activité du juge d’instruction, comme celle du juge des libertés et de la détention, sont notamment maintenues.