Cauvaldor : PLUi-H et « Coeur de village » au menu du conseil communautaire
La dernière séance de l’année s’est déroulée à Sousceyrac.
Les élus de la Communauté de communes Causses et Vallée de la Dordogne se sont réunis ce lundi 10 décembre à Sousceyrac-en-Quercy pour le dernier conseil communautaire de l’année. Un ordre du jour dense avec notamment un débat sur la suite de l’élaboration du PLUi-H et l’engagement dans la phase opérationnelle de six opérations « Cœur de village ». Dans le cadre de la démarche d’élaboration du PLUi-H, il a été proposé aux élus de se saisir d’une possibilité offerte par la loi pour structurer le document en intégrant des « plans de secteurs ». C’est un avantage pour le territoire de mettre en avant les spécificités des différentes zones géographiques. Ainsi, le futur PLUi-H n’aura pas un règlement unique pour les 79 communes mais six règlements de secteur. Ce choix permet de prendre en compte les entités paysagères, les bassins de vie et les zones inondables tout en respectant les limites communales. Par ailleurs, la compréhension et la lecture du PLUi-H seront facilitées pour les pétitionnaires auxquels un seul règlement sera transmis selon le lieu d’implantation de leur projet. Et enfin, il sera possible pour la collectivité de ne modifier ou réviser qu’un seul plan de secteur et pas l’ensemble du document. Le conseil a validé cette démarche.
En matière de voirie, Cauvaldor accompagne les communes dans leurs projets d’aménagement pour améliorer la sécurité et l’accessibilité des riverains tout en contribuant à l’embellissement des villages via les opérations « Cœur de village ». Le conseil communautaire a approuvé le lancement de la procédure adaptée de marché de travaux qui permettra de désigner les entreprises qui réaliseront les programmes pour six communes : Cressensac, Floirac, Bétaille, Bretenoux, Saint-Jean-Lagineste et Autoire. Pour chacun de ces projets, les services de la communauté de communes conduisent l’opération en lien étroit avec la commune. Côté financier, le montant restant à payer après déduction des subventions est pris en charge à parts égales entre la municipalité et l’intercommunalité.