Cahors : Mathieu Tétéu en concert ce vendredi aux Docks

Il présente son nouvel album en présence de ses musiciens et de Rita Macédo (et c’est gratuit).

Le 6ème album de Mathieu Guillemant Tétéu est à découvrir ce vendredi 20 septembre, à 21 h, aux Docks. Un hommage au grand compositeur Roberto Mendes, musicien de l’état de Bahia-Brésil. Tétéu sera accompagné de Rita Macédo (Femmouze T) à l’accordéon, Fabien Tournier à la batterie, Thomas Ranck aux guitares et machines et Eyob Delbreil au Sax alto.

« Il s’agit de faire connaitre le «chula», samba de bahia, genre totalement méconnu en France. L’intégralité des ventes de ce nouvel album sera reversée à l’association «Amigrants-Cahors» pour financer plusieurs projets culturels. L’association Amigrants proposera une restauration sur place.

> Mathieu Tétéu, artiste engagé sur le territoire
Guitariste-chanteur, multi-instrumentiste et pédagogue depuis plus de 20 ans, il est professeur titulaire à l’école de musique de Cahors. Il a obtenu un 1er prix du conservatoire supérieur de Paris (CNSMDP} en 2005, un prix d’écriture musicale au conservatoire régional de Lille, un Diplôme d’État d’enseignant artistique (guitare}. Il a créé les moments « Je crie, j’écris » au sein du conservatoire de Cahors, et ces stages se poursuivent depuis 2021 à l’Espace social et citoyen de Terre-Rouge à Cahors. Le projet se déploie sur le territoire du Lot (46) à Cahors, dans les locaux de l’association AMlgrants et de l’espace social et citoyen de Terre Rouge, au festival Migrant’Scène, et sur les lieux des concerts finaux (La Prade, Auditorium du Grand Cahors … ).

La réalisation et la vente de l’album « Historia e coraçao » permettra de réunir des fonds dont l’intégralité des bénéfices seront versés à l’association AMlgrants-Cahors, et permettront le financement des stages « Je crie, j’écris » dont l’intérêt artistique et créatif est de favoriser et d’accompagner l’expression écrite et orale à travers le chant et la musique et qui ont déjà fait preuve par le passé de leur efficacité quant à l’intégration de personnes exilés dans ces ateliers d’expression dans la langue Française ET dans leur langue maternelle.