Cahors : Concert d’orgue avec Alexis Grizard en la cathédrale ce 7 juillet

L’Association des Amis de l’Orgue a fait appel au jeune et talentueux organiste.

Pour son traditionnel concert d’été qui aura lieu ce 7 juillet, à 16 h 30, l’Association des Amis de l’Orgue de la cathédrale de Cahors a choisi de faire appel au jeune et talentueux organiste Alexis Grizard

Agé de seulement 22 ans Alexis Grisard est déjà considéré comme un des organistes les plus doués de sa génération. Alexis est né en Allemagne à Iena et a commencé le piano à l’âge de 10 ans. L’orgue est venu ensuite, qu’il étudie en France au conservatoire de Cergy-Pontoise, puis au conservatoire national sous la direction d’Olivier Latry , Michel Bouvard et Thomas Ospital. Enregistrements de disques, participation avec succès à de nombreux concours, concerts en solo ou avec orchestre, participation à divers festivals dont Toulouse les Orgues, sa carrière débute sous les meilleurs auspices. Au-delà de la musique classique, Alexis se passionne pour l’interprétation de transcriptions de musiques orchestrales et la création d’œuvres nouvelles. Nul doute que ce jeune artiste, le 7 juillet aux claviers de l’orgue de la cathédrale, reçoive de la part du public cadurcien un accueil enthousiaste.

> Le programme

Œuvres de J.S. Bach, F Mendelssohn, Max Reger, Alexandre Guilmant, Louis Vierne, Guillaume le Dréau et Joseph Bonnet

Le programme d’Alexis commencera par un hommage au grand maitre Jean-Sébastien Bach, avec une Sinfonia pour orchestre arrangée pour orgue seul et la fugue en si mineur BW 544, chef d’œuvre de la maturité du grand compositeur. Viendra ensuite Mendelssohn, lointain successeur de Bach à Leipzig, avec le prélude et fugue en ré mineur op 37 n°3, puis toujours dans la lignée de Bach, de Max Reger sera interprétée « mélodia » onzième pièce d’une série de douze pièces pour orgue composées en 1901. Après cette séquence allemande suivront des compositeurs français. En premier, le grand Louis Vierne avec « Feux follets » un pur chef d’œuvre tiré de la deuxième suite intitulée « pièces de fantaisie pour orgue ». puis des compositeurs moins connus mais dont des œuvres remarquables sont à découvrir : Joseph Bonnet avec « méditation », Alexandre Guimat avec le magistral final de la première sonate et Guillaume Le Dreau avec les études 2, 3 et 6 extraites des 6 études pour orgue.