L’ADGPR a dénoncé la fermeture du site, la SNCF a répondu.
L’Association de Défense de la Gare d’Assier et des Services Publics a dénoncé la fermeture de la gare d’Assier (comme d’autres gares) toute la semaine du mardi 15 juillet au vendredi 18 juillet qui s’est traduit :
Par la suppression d’un aller – retour Rodez – Brive remplacé par un bus (moins rapide et moins confortable).
Par l’augmentation de la distance de circulation des trains de gare à gare (de Figeac à Saint-Denis-Près-Martel). Une si grande distance sans gare ouverte pour permettre de faire croiser deux trains en cas de retard ne permet pas d’assurer les correspondances en gare de Brive, de Capdenac ou de Rodez.
Par la fermeture du guichet : pas d’accueil, pas de vente de billet et/ou de réservation, aucune information sur un éventuel retard ou suppression de train, etc..
« Nous connaissons les causes de ces fermetures, c’est sempiternellement le même problème : le manque flagrant de personnel qui occasionne des fermetures de gare, de guichet du jour au lendemain. Cette situation perdure, cela est inadmissible tant pour la sécurité des circulations que l’accueil des voyageurs. Ce sont encore et toujours les usagers qui sont pénalisés. L’Association de Défense de la Gare d’Assier et des Services Publics continue d’alerter les élus, les collectivités territoriales, les pouvoirs publics afin qu’ils interviennent auprès de la SNCF pour que le Service Public soit maintenu. L’ADGPR se réserve le droit d’appeler à une mobilisation pour contraindre la SNCF à mettre le personnel nécessaire au bon fonctionnement de l’entreprise pour assurer le Service Public que tous les usagers sont en droit d’attendre » a conclu l’ADGPR.
> La SNCF a répondu : « Cette situation a été liée à l’absence imprévue d’un agent. Sur la période indiquée, il n’y a pas eu d’impact sur le plan de transport. Les trains ont pu rouler en toute sécurité. »





