Après sa victoire contre Ger Séron, Cahors Rugby jouera la montée
Les Ciel et Blanc seront opposés aux 4 Cantons en 8ème de finale.
Un Lucien Desprats de phases finales. Public en nombre, et haie d’honneur des Petits Diables pour l’entrée des joueurs. Les Ciel et Blanc ont répondu présents face à une belle équipe de l’USEP Ger Séron qui n’était pas venue pour admirer le pont Valentré.
Paul Golfier, le buteur local, validait le bon travail des siens avec 3 pénalités au bout d’un quart d’heure contre une pour les Noir et Violet. Les coéquipiers de Thibaut Girbes accéléraient ensuite et après une merveille de croisée au centre du terrain, Romain Sikora ramassait derrière le ruck pour s’écrouler en terre promise. 16 à 3. Les visiteurs ne s’en laissaient pas compter et marquaient un essai juste après pour recoller. 16 à 10. Réduits à 14 après un carton jaune de Pierre Carles, la cavalerie albiceleste remettait le turbo, Jules Jimenez fixait, et ouvrait l’intervalle à Thomas Laussac. « L’ancien », lancé comme un train SNCF, perçait et servait Jordan Recchia intérieur pour un nouvel essai avant les citrons. 23 à 10.
La seconde mi-temps était plus difficile pour les locaux avec un essai des Pyrénéens sur pénaltouche à la 47ème puis un autre à la 70ème pour revenir à un point, 23 à 22. Les Cadurciens remettaient ensuite la main sur le ballon et Paul Golfier enquêtait deux nouvelles pénalités pour sceller la victoire et la qualification en 8ème de finale. Score final, 29 à 22. Cahors Rugby jouera donc la montée en fédérale 1 contre les 4 Cantons.
« Objectif atteint aujourd’hui. Il faut rester concentrés pour les prochains matchs » a expliqué Didier Valade, le président.
« Nous avons réalisé une bonne première mi-temps. Dans l’engagement et l’intensité, nous avons répondu présents après nous avons été encore trop pénalisés. Chapeau à l’USEP qui a fait un bon match. On prend les 4 Cantons, une équipe que l’on connait avec 2 belles rencontres à l’horizon pour la montée » a souligné François Richard, le manager du club (avec Gaby Urlacher).
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