Cahors : Il reste des places (et des bonnes) pour « Un air de famille »
Le spectacle est à l’affiche le samedi 3 février, à 20 h 30.
Reprise du succès des années 1990 ! Comédie acerbe sur les rapports familiaux, « Un air de famille » est une nouvelle preuve de l’humour féroce et perspicace du duo Jaoui – Bacri. Comme tous les vendredis soirs, les Ménard se réunissent au « Père tranquille ». Ce soir-là, on fête l’anniversaire de « yoyo » la belle fille. Pendant le repas, la mère, sa fille Betty et ses deux fils Henri et Philippe décident de régler leurs comptes. Les secrets de chacun éclatent au grand jour. et quand Denis, le garçon de café, décide de s’en mêler, un nouvel ordre familial se profile. Cette plongée tragicomique dans l’univers familial renoue avec le style populaire et chaleureux du théâtre comique des années 1990. Bacri et Jaoui nous montre que, 20 ans plus tard, leur pièce n’a pas pris une ride. A (re)découvrir au théâtre le samedi 3 février, à 20 h 30.
Une pièce d’Agnès Jaoui et Jean-Pierre Bacri
Mise en scène : Agnès Jaoui
Avec : Léa Drucker remplacée par Valérie Crouzet, Catherine Hiegel, Grégory Gadebois remplacé par Gilles Cohen, Laurent Capelluto, Jean-Baptiste Marcenac, Nina Meurisse
Assistante mise en scène : stéphanie Froeliger Décors : Alban ho Van
Lumières : dominique Bruguière
Costumes : Nathalie raoul
Son : Xavier Jacquot
> Réservations : 05 65 20 88 60
billetterie.theatredecahors@mairie-cahors.fr
> Il reste aussi quelques places pour Scandale ! ce jeudi 25 janvier, à 20 h 30. Scandale ! C’est pas vrai, encore un ? Oui mais cette fois c’est pour la bonne cause ! Pour l’énergie de la transe et de la danse ! « Scandale » c’est ici le nom donné à une mystérieuse cérémonie chamanique durant laquelle les danseurs, envoutés comme des fantômes virevoltants vont « scander » des sons organiques. Et ce, pour appeler, invectiver, exciter celui qui va leur donner en échange la musique, la matière première du mouvement. Mais qui est cet étrange chamane qui semble contrôler la situation et jouer avec nos nerfs ? Il s’agit d’un voleur de son, un magicien qui capture les souffles, les murmures, les cris et les rires de ces danseurs possédés pour composer une transe musicale énergique. Le dialogue s’engage avec passion entre le génie de ce percussionniste sans visage et la virtuosité des hip-hopeurs transformés en esprits de la danse. Et c’est peut-être là que réside le scandale. La musique manipule les humains, elle les dépossède de tout contrôle sur soi pour les transformer en êtres mouvants, démoniaques et imaginaires.