L’enveloppe s’élève à 5 millions d’euros.
En 2025, l’Etat consacre 5 millions d’euros pour soutenir la création ou la rénovation de 12 écoles et la construction de 2 crèches, portées par les collectivités locales.
Cette année, l’Etat finance à hauteur de 1,5 million d’euros la création d’une école de 8 classes qui regroupera les élèves de Puybrun, Tauriac et Gintrac sur un site unique. Il soutient également la création d’une école de 3 classes rassemblant les élèves de Concorès, Frayssinet, Montamel, Peyrilles, Saint-Chamarand et Saint-Germain-du-Bel-Air (pour une première tranche de 850 000 euros en 2025).
La rénovation thermique constitue aussi une priorité. En 2025, l’Etat soutient l’adaptation au confort d’hiver et d’été des écoles de Castelfranc (pour 380 000 euros) et Pierre Ségala à Cahors (notre photo). La subvention de 550 000 euros accordée à la ville de Cahors permet de rénover cette école construite dans les années 1960, qui accueille environ 180 élèves. Cette action complète la désimperméabilisation des trois cours de l’école, financée à hauteur de 80 % par le Fonds vert en 2024.
Des financements d’ampleur sont également apportés pour poursuivre la restructuration et la rénovation énergétique du groupe scolaire de Souillac. Ce chantier qui sera terminé pour la rentrée de 2026 est soutenu pour plus de 3 millions d’euros sur trois ans.
L’Etat accompagne aussi les collectivités pour agrandir les écoles de Gigouzac (à hauteur environ de 133 000 euros) et de Coeur-de-Causse (173 000 euros). Les écoles d’Anglars-Julliac, Lamagdelaine, Mercuès, Saint-Pierre-Lafeuille, et Clément Brouqui à Gramat ont également reçu un soutien cette année de l’État pour des travaux de rénovation.
Enfin, pour développer l’offre d’accueil à la petite enfance, l’Etat accompagne en 2025 la construction de deux crèches : l’une à Livernon (via une subvention de 190 000 euros au Grand Figeac) et l’autre à Pern-L’Hospitalet (à hauteur de 280 000 euros pour la communauté de communes du Quercy-Blanc).
Avec ces subventions aux collectivités, souvent à hauteur de 50 à 70 % des travaux pour les écoles, l’Etat montre son engagement pour la jeunesse et la priorité accordée à l’éducation.
