Le plan départemental de restauration de la sécurité du quotidien se déploie dans le Lot
Coup d’envoi symbolique donné ce vendredi.
Dans le Lot, le plan départemental de restauration de la sécurité du quotidien vient de connaître son coup d’envoi. « Ce plan est le fruit d’un dialogue et d’une coopération renforcés avec les élus et tous ceux qui participent au continuum de sécurité. Il s’articule autour de six objectifs :
– renforcer la présence sur la voie publique ;
– lutter de manière systématique contre la consommation et le trafic de drogues ;
– renforcer la lutte contre les cambriolages ;
– augmenter les contrôles sur les axes de transport ;
– prévenir les violences intrafamiliales et à caractère sexuel ;
– faire appliquer l’ordre républicain.
Ce plan visera aussi à mieux dissuader et contrôler sur les points stratégiques pour lutter contre la délinquance et rassurer nos concitoyens sur leur sécurité. La police et la gendarmerie du Lot ont déjà renforcé leur présence et leurs contrôles sur la voie publique et sur les principaux axes de transport du département : l’autoroute A 20, les routes départementales et les trains, à l’image des contrôles menés ce vendredi en gares de Cahors et Souillac. Il y enfin un volet sur la vigilance des citoyens pour :
– assurer la prévention, notamment dans la lutte contre les addictions et les violences intrafamiliales,
– renforcer la sécurité de leurs domiciles et commerces contre les cambriolages,
– augmenter la vigilance pour soi et pour les autres.
A Cahors, en coopération avec la police municipale, la police nationale mène des actions de sensibilisation et d’accompagnement des commerçants, notamment via des patrouilles pédestres renforcées » a expliqué Frédéric Roure, sous-préfet et directeur de cabinet de la préfète, avant de conclure : « La sécurité est l’affaire de tous ».
> A Figeac, le maire, André Mellinger, la préfète, Claire Raulin, la procureure, Clara Ribeiro, et le colonel Bertrand Loddé, chef du groupement de gendarmerie, ont signé ce 20 février la convention de coordination entre la police municipale et la brigade de gendarmerie qui permet :
– plus d’échanges d’informations,
– une présence renforcée sur voie publique,
– des patrouilles et des contrôles conjoints,
– une efficacité accrue dans la prévention et la lutte contre la délinquance.