Nouveau déplacement difficile pour Cahors Lot XIII
Réalmont est l’ogre de la poule.
Ce dimanche, Cahors Lot XIII va se déplacer pour son 4ème match de Nationale à Réalmont. Encore un déplacement difficile dans le Tarn pour notre jeune équipe cadurcienne qui va de nouveau essayer de déjouer les pronostics.
Réalmont, est le favori de la poule, voire du championnat. Doté d’une équipe, composée de joueurs formés au club et de recrues de plus haut niveau, c’est l’ogre de la poule qui s’est incliné l’an passé en finale de Nationale face à Tonneins pour la montée en Elite 2 et a fini avec le titre de vice-champion de France de Nationale.
L’équipe de Cahors Lot XIII composée exclusivement de joueurs issus de son école de rugby ou formés au club, devra s’appuyer sur ses grandes qualités d’attaque et de défense pour relever ce nouveau défi, rendant ce dimanche encore de nombreux kilos à l’équipe adverse.
Réalmont, 2ème au classement, à 1 point du premier avec un match en retard, possède une bonne expérience de la Nationale et vient d’aligner trois victoires consécutives, à domicile comme à l’extérieur, avec des scores lourds et de gros écarts à chaque fois, contre La Réole, Gratentour et Pamiers. Vu ses ambitions et sa dynamique actuelle, le club part largement favori de la rencontre.
Cahors, 5ème au classement, à 1 point du 3ème et du 4ème avec un match en retard, acquiert match après match l’expérience de ce niveau pour sa 1ère année en Nationale. Après une défaite à Pamiers, et une victoire à domicile contre Gratentour, le club a créé la surprise pour son dernier match en allant battre Villefranche d’Albi chez lui.
Cahors Lot XIII se déplacera avec détermination mais sans pression excessive et se prépare activement à ce gros match. Après deux semaines sans compétition, les coachs de Cahors Lot XIII, Christophe Canal, Thomas Gailhard et Lorenzo Godet, pourront s’appuyer sur un effectif presque complet et le renfort de Villefranchois pour composer la meilleure équipe possible. Bon déplacement à nos locaux et, la foi aidant, après la surprise, pourquoi pas l’exploit ?