Christophe Proença dresse le bilan d’1 an de mandat
Le député du Lot se projette déjà sur la suite.
« Je n’ai pas vu le temps passer ». Christophe Proença, député du Lot, a dressé le bilan de sa 1ère année de mandat. « C’est un honneur de représenter les Lotois. C’est hyper intéressant, enrichissant. Je travaille sur des sujets variés. En une année, j’ai participé à 675 scrutins dans l’hémicycle, parmi lesquels des votes déterminants : la proposition de loi pour lutter contre les déserts médicaux a marqué une avancée majeure pour les 8 millions de Français concernés. J’ai également soutenu la réforme sur la fin de vie, avec l’adoption de deux textes relatifs aux soins palliatifs et à l’aide à mourir : un moment fort. J’ai adressé 13 questions écrites au gouvernement, sur des sujets variés et concrets : le sort des secrétaires de mairie, l’avenir de la filière solaire, les inégalités dans les SSIAD, ou encore le soutien à l’agriculture biologique. Deux questions orales au gouvernement m’ont permis de porter la voix du Lot dans l’hémicycle, sur la situation critique de la filière noix, et sur l’abandon que subit notre ligne ferroviaire POLT, axe vital trop longtemps négligé. En parallèle, j’ai été rapporteur d’une mission flash sur le sport scolaire et la prévention de l’obésité infantile. Cette mission m’a conduit à auditionner de nombreux acteurs du monde sportif et éducatif, et les conclusions que j’en ai tirées doivent aujourd’hui nourrir les politiques publiques. » a-t-il précisé avant d’annoncer qu’il va continuer à garder le « contact avec le terrain, qui est obligatoire ». « Je vais continuer à m’investir notamment sur le sport chez les jeunes et la santé chez les enfants mais aussi sur le patrimoine, sur la recherche et les filières scientifiques » a conclu le parlementaire.
> Christophe Proença a reçu près de 500 personnes dans ses permanences de Figeac et Bretenoux.
> La loi Duplomb. « Je ne l’ai pas votée. Nous avions au PS une proposition de compromis. Les filières de la noix, de la cerise… ont besoin d’être aidées avec des dérogations. Le modèle de l’agriculture lotoise devrait être un exemple, une agriculture à taille humaine avec des produits de qualité et des agriculteurs engagés » a expliqué le député.
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